«On offre un aliment qui a un potentiel addictif, en surconsommation, indique la Dre St-Pierre. On vient nuire à la satiété de l'enfant. On lui procure un effet euphorisant - il y a un pic d'excitabilité qui suit l'ingestion de ces produits - suivi d'un effet calmant, partiellement dépresseur. Là où ça devient extrêmement vicieux, c'est qu'on dit: "Ce n'est pas grave, on fait ça dans un contexte de sport", observe la Dre St-Pierre. Ça prendrait pourtant de 8 à 10 heures de sport pour être capable d'éliminer la surconsommation de sucre présente dans une telle fête.»
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